République Dominicaine
Superficie : 48, 442 km²
Nombre d’habitants : 10 millions
Capitale : Santo Domingo
Principales villes : Santiago, La Romana, Higüey, La Vega, Puerto Plata, Barahona
Monnaie : La monnaie locale est le peso dominicain (DOP – RD$). Le taux peut évoluer en fonction du jour et du lieu. En mai 2021 1 euro = 68.25 RD$
Langue officielle : Espagnol. Dans les zones touristiques, la plupart de nos citoyens parlent anglais ou maîtrisent plusieurs langues.
REPUBLIQUE DOMINICANE, TOUT CE DONT VOUS REVEZ
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** NOUVEAU:
Reconnaissance de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT)
Le 9 mai 2022, l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) a reconnu la République dominicaine comme le premier pays au monde pour la reprise du tourisme. Le modèle touristique dominicain se distingue par la reprise la plus réussie du secteur en atteignant des chiffres records en matière d’arrivées de touristes.
Le succès de la reprise est attribué au gouvernement dominicain et aux piliers de l’innovation, de l’esprit d’entreprise, de l’éducation et des nouvelles destinations, qui sont la base de l’effort conjoint entre les secteurs public et privé, qui assurent ensemble les garanties et les protocoles sanitaires pour un tourisme sûr.
OFFICE DU TOURISME DE LA REPUBLIQUE DOMINICAINE
22, rue du 4 septembre 75002 paris – 0143129191 – info@otrepubliquedominicaine.com – GoDominicanrepublic.com
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La République Dominicaine est une destination à nulle autre pareille.
Bordée au nord par l’Océan Atlantique et la Mer des Caraïbes au sud, vous serez étonnée de découvrir au-delà de ses 1 609km de côtes et 402km des plus belles plages au monde, une nature exubérante ; des vastes pleines, des chaines de montages, des zones semi-désertiques, des lacs, des cascades et des rivières nichés dans des parcs nationaux protégés, en plus d’une énorme richesse culturelle bâtie des intrigues de son histoire au milieu d’une population appréciée pour sa chaleur et son hospitalité.
Située à 9 heures de vol de la plupart des villes européennes, venez pour vous laisser bercer au rythme du merengue et la bachata, ou partez explorer les vestiges des siècles passés en savourant notre délicieuse gastronomie.
Vous trouverez l’offre hôtelière la plus complète des caraïbes !
INFORMATIONS AU SUJET DE LA COVID-19 :
Depuis le 01 juillet 2020, la République Dominicaine a ouvert ses frontières et reçois les touristes dans le respect de stricts protocoles sanitaires. Vous trouverez pus d’informations en cliquant sur ce lien :https://www.godominicanrepublic.com/fr/media/coronavirus/
CENTRE D’INTÉRÊTS :
Santo Domingo – Première ville européenne des Amériques :
La Capital – comme elle est affectueusement nommée – est la métropole la plus moderne et dynamique des Caraïbes. Cette ville cosmopolite illustre parfaitement le rythme de la culture dominicaine, où l’ancien et le nouveau convergent harmonieusement, allant d’architecture et d’histoire remontant à des siècles à de grands centres commerciaux, des galeries d’art, une vie nocturne électrique et une offre gastronomique en plein essor.
Explorer la Ville Coloniale – la première colonie européenne des Amériques, déclarée site du patrimoine mondial par l’UNESCO en 1990 – est une expérience recommandée à tous les voyageurs. Ce quartier historique est constitué d’un labyrinthe de rues étroites, agréables pour les piétons et remplies de merveilles architecturales allant du XVIe siècle au début du XXe. Elles conduisent à des bâtiments coloniaux convertis en musées, magasins, hôtels, restaurants et terrasses de cafés. Montez dans le train touristique Chu Chu Colonial pour une visite de 45 minutes de la zone, louez les services d’un guide qui vous conduira le long de la première rue pavée des Amériques pendant qu’il vous raconte des anecdotes ou louez un vélo et flânez à votre guise.
Le Sud-est – de Boca Chica jusqu’aux cocoteraies de Bávaro, en passant par Juan Dolio, Bayahíbe et Punta Cana :
Boca Chica, avec ses eaux turquoise et peu profondes est la plage préfère des habitants de la ville de Santo Domingo pendant les week-ends. Trois zones de plages s’offrent à vous : Boca Chica (nage, repas et vie nocturne), Andrés (marins et pêche sportive) et La Caleta (plongée sous-marine).
Juan Dolio, située à une heure à l’est de Santo Domingo, est une station balnéaire cosmopolite, simple et calme très proche de l’aéroport international Las Américas (SDQ). Sa longue et large plage de 10 kilomètres au sable blanc étincelant est bordée d’hôtels, de boutiques de plongée, de restaurants et de bars, ainsi que de nombreuses résidences secondaires, de complexes résidentiels de haut standing et autres immeubles nouvellement construits. C’est est le lieu choisi par une population dominicaine aisée en quête de détente surtout les week-ends.
La Romana est l’un des premiers choix de destination du pays. Des champs de canne à sucre conduisent à des plages de sable blanc et aux charmes de ses villages de pécheurs le long de Bayahíbe et Domínicus.
Cette ville est la porte d’entrée aux îles de Saona et de Catalina et Catalinita, des iles bordées d’étendues où les tortues vont pondre, en face de récifs coralliens intacts, alors que des épaves grouillant de vie marine reposent soit à des profondeurs peu importantes, soit extrêmes. Des forêts parsemées de grottes à l’intérieur du parc national de Cotubanamá abritent des sources d’eau douce et de l’art rupestre taïno, attractions naturelles les plus visitées du pays. On ne s’attendrait à pas moins de la part du seul endroit, en République Dominicaine et au monde, dont est originaire la rare rose de Bayahíbe – un cactus couleur rose pâle, désignée fleur nationale de la République Dominicaine en 2011 et figurant sur la devise du pays.
Punta Cana est l’escapade parfaite si vous rêvez de mer, de soleil et de sable, comptant 11 plages possédant le Drapeau Bleu pour la qualité de son eau autorisant la baignade. Faites un tour de ces plages pour profiter de leur splendeur, du pittoresque Macao (centre de rencontre des surfeurs) aux plages hipster de Bávaro, Corales et Cortecito ou la plage retirée de Juanillo, entre autres. Mais Puna Cana vous réserve aussi une myriade d’aventures dans l’arrière-pays. Rafraîchissez-vous dans des cénotes et des lagons azur d’eau douce, nichés dans les forêts d’Ojos Indígenas et de Scape Park, où les ados de la famille peuvent également faire de la tyrolienne et des expéditions de spéléologie. Explorez la luxuriante campagne dominicaine lors d’un safari, en passant devant des boucheries en bordure de route et des plantations de canne à sucre. En chemin, visitez le premier site de pèlerinage du pays, la Basílica Nuestra Señora de la Altagracia et ressentez les racines profondes sur le plan spirituel de la République Dominicaine.
Le Centre – des montagnes et d’air frais dans la vallée du Cibao :
Santiago de los Caballeros fut la première capitale du pays avant de succomber à un tremblement de terre en 1562. Cette ville porte le nom des 30 aristocrates espagnols qui suivirent Colomb et s’établirent ici en 1495. De nos jours, la « Ciudad Corazón » ou la ville au cœur de la Vallée du Cibao, est un centre moderne et cosmopolite ou l’histoire, l’art et la culture ne sont jamais bien loin. Le centre culturel Centro León offre une exposition très complète sur le riche héritage du pays en tant que ville natale des Sœurs Mirabal, de même que de plusieurs présidents dominicains. Accueillant des universités, la région jouit également d’une population dynamique. Dans les environs de la ville, vivent certains artisans et peintres les plus talentueux de la République Dominicaine alors que le Carnaval de Santiago constitue l’un des événements les plus vénérés du pays, avec les costumes de diable, faits main, les plus ornés de bijoux après ceux de La Vega. La nature a doté la province de sols fertiles qui permettent de cultiver le tabac le plus fin du monde, accueillant 90 % des plus grandes plantations et fabriques de cigares et donnant à Santiago le surnom de « Pays du Cigare ». Les amateurs de puros trouveront également les fabriques des premières marques près du centre-ville à Tamboril, proposant des visites gratuites tous les jours et la possibilité de faire des achats exclusifs.
Jarabacoa, perchée à 529 metres d’’altitude est « la ville du printemps éternelle », seule ville du pays offrant un festival annuel de fleurs, au mois de juin qui célèbre la culture de la vie montagnarde avec des défilés à cheval, des concours de fleurs et de la danse folklorique. Pôle d’écotourisme auquel vous pouvez facilement accéder par autoroutes, Jarabacoa – signifiant « lieu d’eaux » en langue taïno – offre une diversité d’hébergements charmants, allant de ranchs en bord de rivière et d’écolodges à de luxueuses villas de vacances perchées dans les montagnes. Les voyageurs les plus aventureux se rendent dans cette région unique du pays, à la conquête de la plus haute cime des Caraïbes : Pico Duarte, à 3 087 mètres, située à l’intérieur des parcs nationaux Armando Bermúdez et José del Carmen Ramírez et régnant sur la chaîne montagneuse la plus élevée des Caraïbes, la Cordillera Central. De cet imposant sommet naît le Río Yaque del Norte, le fleuve le plus long de la République Dominicaine, courant au cœur de cette région de Cibao comme s’il en était la ligne de vie. Avec au moins six autres fleuves prenant également leur source ici, y compris leurs affluents, c’est un monde de cascades et d’aventures aquatiques en plein air : faites du rafting, du tubing, du canyoning et de la descente en rappel du Salto Baiguate, faites du trekking jusqu’aux cascades du Salto de Jimenoa ou nagez à La Cortina et La Confluencia, deux parcs de loisirs alimentés par des piscines d’eau douce. Prendre le pouls de Jarabacoa signifie également explorer ses villages environnants de La Ciénaga et Manabao – de préférence en VTT – qui vous offriront des vues sur les montagnes encore plus époustouflantes le long d’étroites routes sinueuses et de plantations de café qui font la renommée de cette région. Vous pourrez également choisir de découvrir une spectaculaire vue d’ensemble de la région en faisant du parapente en tandem au-dessus des pics, vallées et cascades de Jarabacoa.
Constanza est la plus haute ville des Caraïbes affichant une altitude moyenne de 1 200 mètres. Avec ces impressionnantes hauteurs, viennent les températures fraîches, les vallées ondoyantes couvertes de pins épais, les chalets équipés de cheminées pour combattre des températures nocturnes n’atteignant pas 10 °C et un paysage agricole loin de la plage. Grenier du pays, les vastes champs de légumes – pommes de terre, choux, maïs et carottes, entre autres – de fleurs et même de fraises de Constanza peuvent être aperçus pendant que vous découvrez la province en louant une voiture ou en vous promenant à VTT. Entouré par quatre grands parcs nationaux, y compris deux réserves scientifiques, ce centre géographique de la République Dominicaine est béni par la nature. Le parc national de Valle Nuevo – le plus haut plateau de la région qui culmine à environ 1 900 – 2 100 mètres – abrite les principales rivières et fleuves alimentant le pays, sans parler des sentiers de randonnées dans la Vallée du Tetero, parcourant des forêts de brouillard, de pins d’Hispaniola et de fougères, de même que des hauts plateaux. Plus de 70 espèces d’oiseaux vivent ici, y compris l’hirondelle dorée en danger, et vous verrez une grande quantité de reptiles, d’amphibiens et plus de 500 espèces de plantes. Dans la réserve scientifique d’Ébano Verde, des piscines froides d’eau douce, vous attendent dans un environnement de bois précieux et de plus de 80 espèces d’orchidées, de grenouilles arboricoles géantes et de lézards.
Au Nord – de la Côte de l’Ambre aux Baleines :
San Fernando de Montecristi, fondée par Nicolás de Ovando en 1501 et portant le nom du roi Ferdinand d’Espagne, révèle un héritage riche et inspirant. C’est là que le cubain José Martí et le général dominicain Máximo Gómez ont planifié l’indépendance de Cuba vis-à-vis de l’Espagne – vous pouvez voir des documents clés exposés dans le Museo Máximo Gómez. Peu savent également que Montecristi est l’endroit où le premier aqueduc, chemin de fer et téléphone furent installés en République Dominicaine. Avec des terres sauvages, qui conduisent inévitablement à des surprises au grand air, Montecristi est l’endroit où vous pouvez vivre votre propre aventure de Pirates des Caraïbes. De tout point de la ville, vous verrez les vues caractéristiques de El Morro, plateau emblématique dominant Montecristi, au pied duquel repose une spectaculaire plage dorée. Ceux qui quittent le sable et s’aventurent dans l’océan Atlantique peuvent faire du kitesurf ou plonger sous l’eau pour explorer la barrière de corail, parallèle à El Morro s’étendant jusqu’à Punta Rucia. C’est le récif le plus grand et le mieux conservé de la République Dominicaine. Au loin, en face de la baie de Montecristi, les meilleures aventures de plongée snorkeling et de plongée sous-marine du pays vous attendent au large de Cayo Siete Hermanos, une série de sept îlots faisant également office de principal lieu de nidification de fous bruns et d’oiseaux migrateurs. Enfin et surtout, vous pourrez découvrir les épaves des plus de 450 galions coulés, remontant à l’époque de Christophe Colomb, dont la plupart attendent d’être découverts et étudiés par les archéologues marins – les eaux de Montecristi sont connues comme « le cimetière de bateaux des Caraïbes ».
Puerto Plata, cette ville que l’on surnomme La Novia del Atlántico, ne cesse d’étonner ceux qu’y posent leur regard. Christophe Colomb savait qu’il y avait beaucoup à découvrir sur le littoral de l’Atlantique Nord –trouvant finalement des gisements d’or – lorsqu’il l’aperçut de son navire en 1492. Attiré par la vue de nuages étincelant au-dessus du Mont Isabel de Torres et illuminant le vaste littoral bleu de Puerto Plata, il nomma la région le « Port d’Argent » (Puerto Plata) et s’établit à La Isabela avec une communauté mixte de Taïnos – premiers habitants de la région – et d’Espagnols, construisit la première église et sa première demeure dans les Amériques. Vous pouvez suivre la trace de Colomb et visiter ces ruines archéologiques, désormais incluses dans un parc national. Puerto Plata abrite des vestiges coloniaux, comprenant le plus grand ensemble de magnifiques maisons victoriennes du XIXe siècle très bien conservés, les plus vieux fossiles d’ambre au monde exposés dans le Musée de l’ambre et l’une des premières forteresses de l’époque coloniale dans la région, la Fortaleza San Felipe, qui remonte à 1577. Une vue en plongée depuis le téléphérique – le premier dans les Caraïbes, conduisant les passagers au Mont Isabel de Torres et ses jardins botaniques luxuriants – révèle une partie d’un littoral atlantique de plus de 100 kilomètres de plages embellissant de nombreux villages côtiers, des communautés agricoles à l’intérieur des terres regorgeant de rivières et de cascades et des hôtels de toutes tailles pour satisfaire tous les goûts.
À l’est et à l’ouest, le long du littoral de Puerto Plata, des vents alizés constants, des systèmes fluviaux, l’immense chaîne montagneuse de la Cordillera Septentrional et l’Océan Atlantique s’unissent pour créer un monde d’aventures en plein air, y compris des stations balnéaires réputées pour les sports aquatiques. À moins d’une demi-heure de la ville, Sosúa qui fut tout d’abord établie par des immigrants juifs fuyant l’Allemagne nazie, offre de magnifiques plages où expatriés et habitants coexistent et de riches sites sous-marins. Près de là, Cabarete est un centre névralgique du windsurf, surf et kitesurf célèbre dans le monde entier et l’un des lieux cosmopolites préférés des touristes qui viennent y passer de longues périodes. Playa Dorada est pour ceux qui veulent se détendre avec style sur des étendues dorées et des activités de bord de mer près de la ville, allant du canyoning dans les 27 cascades de Damajagua (Charcos de Damajagua) au snorkeling à Cayo Arena et le repos à Ocean World Marina. Outre la nature, la multitude de villages dynamiques de Puerto Plata donne lieu à une foule d’expériences culturelles. Base du tourisme communautaire, c’est l’endroit idéal pour vous promener dans des plantations familiales de cacao ou de café, apprendre à jouer et à danser le merengue d’une famille de musiciens ou vous immergez dans la pelota dominicaine (baseball) au stade et musée Bartolo Colón.
La péninsule de Samaná, est un paradis naturel avec ses plages sauvages, plantations de cocotiers et foret tropicales. Elle demeure l’escapade paradisiaque et retirée par excellence de la République Dominicaine, le rêve du voyageur indépendant ! Ses montagnes et vallées donnent naissance à des fleuves cristallins qui se jettent dans l’Atlantique, formant ainsi des cascades qui descendent jusqu’à des plages d’un sable blanc éclatant, s’étendant sur des centaines de kilomètres tout au long de la côte rocheuse de la péninsule. C’est comme si les près de 1 500 baleines à bosse qui visitent la baie de Samaná tous les ans appréciaient cette splendeur naturelle autant que les visiteurs. Ces mammifères géants reviennent chaque année dans les eaux de cet endroit particulier de la République Dominicaine pour s’accoupler, mettre bas et se reposer dans ce superbe paysage tropical. Outre les excursions saisonnières en bateau pour observer les baleines dans la pittoresque baie de Samaná, d’autres aventures d’éco-tourisme sont à vol d’oiseau : bodyboard et kitesurf à Las Terrenas ; randonnée, observation des oiseaux et visite de grottes dans le parc national Los Haitises ; canyoning ou randonnée à cheval pour atteindre la cascade de El Limón ; et excursions en bateau pour rejoindre les magnifiques plages de sable blanc au pied de falaises de 90 mètres ou l’île de Cayo Levantado, au large. Des milliers d’Européens sont arrivés ici comme touristes et sont devenus des résidents permanents, créant des entreprises qui donnent à la région son ambiance cosmopolite unique. À Las Terrenas, des cafés français et de pittoresques maisons d’hôtes laissent place à des boutiques au chic européen, des bistros et des salons en front de mer. Cependant, la péninsule maintient son héritage culturel divers. Vous trouverez une cuisine au goût de noix de coco et riche en fruits de mer – une influence des premiers colons venus des Îles Canaries et des descendants d’immigrants afro-américains du XVIIIe siècle qui continuent de vivre ici. À Las Galeras, la vie du village de pêcheurs se maintient malgré les très nombreux touristes qui affluent dans la journée à la célèbre Playa Rincón, l’une des plus belles plages de la République Dominicaine. Que vous décidiez de rester sur la péninsule, perchés dans une cabane en haut d’un arbre à El Valle ou confortablement installés dans une suite en bordure de mer, sur les sables dorés de Cosón, préparez-vous à passer des journées parmi certaines des plus belles plages et forêts tropicales des Caraïbes.
Le Sud-ouest – réserve de la biosphère du monde et Larimar :
Barahona, « La Perle du Sud » ou « La Perla del Sur », située à l’extrême sud-ouest de la République Dominicaine est géographiquement retiré des principales destinations touristiques du pays mais ceux qui s’en rapprochent trouveront que l’éloignement a aussi ses bons côtés : des réserves et des parcs offrant la plus grande biodiversité du pays, des plages de surf attirant des athlètes à la recherche de leur prochain spot, des cascades d’eau douce converties en lieux naturels de baignade récréative, des paradis pour l’observation des oiseaux nichés dans des chaînes montagneuses et des plantations produisant du café parmi les meilleurs du pays. La province en soi et les régions environnantes de Bahoruco et d’Independencia, plus à l’intérieur, vous plongent dans un décor de villages de pêcheurs dont le sable est parsemé de pirogues et de vues de chaînes montagneuses qui semblent provenir du ciel et tomber dans une mer des Caraïbes turquoise le long de la pittoresque route côtière Barahona-Enriquillo. Couvrant une superficie d’environ 7 700 kilomètres carrés, la province de Barahona est un paradis naturel et le lieu idéal pour observer la vie sauvage, avec une multitude d’attractions qui pourraient vous occuper pendant plusieurs jours. Le parc national de Sierra de Bahoruco, qui fait partie de la seule réserve de biosphère de l’UNESCO dans le pays, révèle de multiples écosystèmes allant des forêts sèches aux forêts de brouillard – s’élevant à plus de 2 000 mètres et où des espèces uniques se sont établies. Celles-ci incluent au moins 180 espèces d’orchidées, dont 32 sont endémiques, des iguanes rhinocéros et plus de 100 espèces d’oiseaux le long de chemins balisés. Complétant cette étendue sauvage, vous découvrirez des rivières tombant en cascade pour rejoindre des plages de galets, d’imposants promontoires offrant un paysage côtier unique en République Dominicaine et des grottes nichées dans d’épaisses forêts de fougères vous conduisant vers des baignades rafraîchissantes dans des dolines bleues, au son de contes mystiques. Au cœur des montagnes de Bahoruco, vous trouverez le seul gisement au monde de Larimar, une pierre semi-précieuse, de couleur turquoise que vous verrez montée en bijoux dans les boutiques dominicaines. Les mineurs passent entre huit et neuf heures par jour sous terre, extrayant cette rare pierre bleue dans des puits qui descendent jusqu’à 40 mètres de profondeur.
La province de Pedernales concentre les caractéristiques géographiques les plus protèges du pays ainsi que des vues et paysages naturelles uniques. Des parcs, lagons et lacs abritent des reptiles endémiques en danger, des oiseaux et de la flore sauvage. D’anciennes grottes taïnos révèlent des dolines d’eau douce et quelques figures de l’art rupestre que très peu ont explorées. Le parc national de Jaragua, joyau de la couronne naturelle de la République Dominicaine, faisant partie d’une réserve de biosphère de l’UNESCO, accueille plus de 400 espèces de flore, 130 espèces d’oiseaux – cherchez à voir les flamants roses à la Laguna de Oviedo– une abondante vie marine avec des tortues pondant sur ses plages et des requins nageant au large des îles Beata et Alto Velo. Vous trouverez également un paradis pour les reptiles, y compris le solénodonte paradoxal et le plagiodonte de Saint-Domingue. Non loin de là, des crocodiles américains se reproduisent et se prélassent dans les eaux hyper-salines du Lago Enriquillo, le plus grand lac des Caraïbes, se situant à 43 mètres au-dessous du niveau de la mer. Ce paysage lointain, désertique et côtier attire l’ultime explorateur de plein air – un endroit où des cactus géants bordent les routes avec des vues intermittentes sur des littoraux turquoise iridescents, où les vaches et les iguanes peuvent fréquemment être aperçus et où les naturalistes découvriront les réserves les plus importantes du pays. La plupart des visiteurs se rendent à Pedernales pour savourer Bahía de Las Águilas, le joyau de la couronne des plages dominicaines, dominée par d’époustouflantes falaises karstiques, restées vierges depuis l’époque précolombienne. Promenez-vous sur la plage et dans les forêts et nagez dans des piscines alimentées par des rivières, entre des grottes. Ou montez vers la fraîcheur des montagnes à 1 300 mètres d’altitude et découvrez des phénomènes rares tels que la dépression géologique du Hoyo de Pelempito.
Le golf :
Entre mer de Caraïbes, océan atlantique, végétation tropicale et montagnes, la République Dominicaine est la destination incontournable pour le golf. Réputée comme ayant les parcours les plus prestigieux des Caraïbes et de l’Amérique Latine, elle dévoile plus d’une trentaine de parcours de golf repartis sur toute l’ile. Ils ont été conçus dans leur grande majorité par des designers et anciens joueurs de renommé internationale comme Pete Dye a La Romana, Robert Trent Jones Sr. à Puerto Plata, Jack Nicklaus, Jose « Pepe » Gancedo, Nick Faldo ou P.B. Dye á Punta Cana.
Le MICE :
La République Dominicaine dispose de structures pouvant accueillir des groupes de toutes tailles. La destination jouit d’une importante desserte aérienne, d’un climat doux et d’un important parc hôtelier diversifié. Des nombreux lieux historiques, naturels ou sportifs sont privatisables et adaptables aux activités MICE, ce qui facilite le travail des DMC dominicains, professionnels compétents et polyglottes, reconnus en Europe. Cependant, le plus grand atout de cette destination reste bien-sûr l’hospitalité, la chaleur et la gentillesse du peuple Dominicain.
Art de Vivre : 1er producteur de cigares premium au monde. 1er producteur de cacao bio au monde. Important producteur de cannes à sucre et de rhum.
INFORMATIONS PRATIQUES
Formalités :
Passeports : Tous les citoyens étrangers qui souhaitent entrer en République Dominicaine, exclusivement à des fins touristiques, doivent avoir un passeport valide pendant leur séjour et le départ du pays. Cette mesure exceptionnelle est valide jusqu’au 31 juillet 2022.
E-TICKET : formulaire obligatoire demandé par différentes institutions pour entrer ou sortir du territoire national dominicain. Plus d’information sur,
https://eticket.migracion.gob.do/
Pour un séjour inférieur à deux mois, aucun visa n’est nécessaire. Pour toute information sur les formalités d’entrée merci de contacter un des bureaux consulaires :
1 – Consulat Général de la République Dominicaine à Paris
8bis, Avenue Percier
1er étage à gauche
75008 – París
E-mail : secretariat@consuldompar.fr
2 – Consulat de la République Dominicaine á Marseille :
146 Rue Paradis, 13006 Marseille
Tel : 04 91 57 01 00
E-mail : info@consuladordmarsella.com
Santé : Aucun vaccin n’est obligatoire
Climat : Destination ensoleillée tout au long de l’année. De décembre à début mars quelques brises fraîches peuvent se faire ressentir en matinée et en soirée, où les températures minimales oscillent autour de 18°C, tandis que les températures diurnes, elles, sont beaucoup plus chaudes, entre 25°C et 27°C. D’avril à octobre c’est la saison la plus chaude et les températures peuvent atteindre 32 °C avec des averses fréquentes, mais de courte durée. La température de la mer varie de 27 °C en hiver à 30 °C en été.
Indicatif téléphonique : Le code du pays est +1. Il y a aussi trois codes régionaux de téléphone : 809, 829 et 849. Depuis la France composez le 00 1 suivi du code régionaux et du numéro local.
Décalage horaire : 5 heures en moins l’hiver par rapport à la France et 6 heures l’été.
Électricité : 110 volts, prises américaines
Ambassade
Adresse : 45, rue de Courcelles - 75008 Paris
Email : info@embajadadominicana.fr
Téléphone : 01 53 53 95 95
Infos supplémentaires
Site internet : https://www.godominicanrepublic.com/fr/
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